A la suite de ton billet, j’ai regardé les deux films Akko-Chan.
Bien sympas et gentils sans tomber dans la niaiserie infantile. Même si j’ai dû me retenir de penser aux pubs Galak à la fin du 2nd épisode ^^.
Plus sérieusement, c’est amusement de constater l’évolution ou au contraire la non-évolution du genre au cours du temps.
Et de voir que finalement, il est difficile de parler de genre, puisque malgré certaines constantes, il y a des œuvres d’une très grande disparité.
A l’instar des étiquettes Shojo, Shonen, Seinen, Josei et autres, l’étiquette Magical Girl n’en est qu’une parmi d’autres.
Qui ne permet que de donner une indication quand aux codes utilisées mais reste bien maigre pour se faire une idée du contenue.